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20 novembre 2015

Commentaires

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Tu as tort Georges.

Les visiteurs peuvent très bien intervenir sous la mention "anonyme" à condition de mettre une adresse mail qui soit sincère et vérifiable.

A l’anonyme du 19 11 à 15h35 sur le Blog de G Bouquillon

A chacun ses convictions et sa culture sans vouloir en convaincre les autres…et pour comprendre pourquoi l’amalgame, quoique tentant, ne doit absolument pas être envisagé.
(Le texte ci-dessous est une somme de copiés collés extraits de l’immense puits d’information internet)

Un adepte de l'islam est appelé un musulman. Principale différence avec les autres religions monothéistes, l'islam a pour fondement et enseignement principal le tawhid (monothéisme, unicité et indivisibilité), c'est-à-dire qu'elle revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu (sans lui attribuer aucun fils).
La religion musulmane se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant le mille d'Abraham (milla ta Ibrahim) , c'est-à-dire une soumission exclusive à la volonté d'Allah. Soit de Dieu.
les Frères musulmans
Le groupe des frères musulmans est une association à caractère politique fondée en 1928 par Hassan el-Banna en Égypte. Il est déterminé à lutter contre "l'emprise laïque occidentale" et "l'imitation aveugle du modèle européen" : son but est de passer par la politique pour instaurer un régime fondé sur l'islam dans tout pays où ils seraient implantés.

ISLAM – Salafisme, jihadisme
Racine : de salaf, « ancêtres » ou « pieux prédécesseurs », quête de l’authenticité et retour à la pureté des sources. Ce concept appartient à l’islam sunnite.
Au contraire de l’islamisme des frères musulmans, le salafisme n’est donc ni un mouvement religieux à revendication politique, ni une organisation à proprement parler, plutôt une tendance de « régénération » de la foi et de réislamisation de la société. Un salafiste peut être considéré comme un musulman « ultra-orthodoxe ».
Doctrine :
Le salafisme prône :
 le retour à l’islam des origines par l’imitation de la vie du Prophète, de ses compagnons et des deux générations suivantes ;
 le respect aveugle de la sunna (tradition islamique, comprenant le Coran, les hadiths et la sira).
Il condamne :
 toute interprétation théologique, en particulier par l’usage de la raison humaine, accusée d’éloigner le fidèle du message divin ;
 toute piété populaire ou superstition, comme le culte des saints, jugé contraire à l’unicité de Dieu (tawhîd) ;
 toute influence occidentale, comme le mode de vie et la société de consommation, mais également la démocratie et la laïcité.

Critique du salafisme
Au sein du monde musulman, le mouvement salafiste contemporain est l'objet de vives critiques. La plupart des musulmans lui reproche, en particulier, d'avoir une compréhension étroite des différents textes religieux, notamment du Coran et de la Sunna, en privilégiant une lecture trop littérale, et en négligeant le contexte d'écriture et l'esprit de ces textes, aussi bien dans le domaine théologique que jurisprudentiel.
Le député de Charentes-Maritime, Olivier Falorni, appelle les pouvoirs publics à s'attaquer à cette « idéologie qui considère la République comme une mécréance », avertissant que « le salafisme est le carburant du djihadisme ».
Compte tenu de sa pression contraignante qu'il compare à celle des mafias, l'historien André Ropert suggère de « classer le salafisme parmi les dérives sectaires », soulignant que « le salafisme djihadiste travaille à la déstabilisation mentale, à l’embrigadement des mineurs, développe un discours anti-social pour ne rien dire du trouble à l’ordre public45 ».
Le journaliste Mohamed Sifaoui est encore plus virulent à l'égard du salafisme qu'il qualifie d' « idéologie nihiliste » : « Depuis plusieurs années, je plaide, malgré les cris d'orfraies, à la criminalisation de l'idéologie salafiste et à l'interdiction pure et simple des organisations s'inspirant de la pensée des Frères musulmans ».
Pour Pierre Conesa, ancien haut-fonctionnaire du ministère de la Défense, « On est en guerre contre le salafisme [...] mais simplement, le salafisme,

Alors, après simplification des données il faut conclure que seuls les salafistes potentiellement djihadistes sont à combattre sur notre territoire et aussi ailleurs….La seule personne ayant réellement compris cela s’est déjà exprimée sur le sujet, à vous de voir.

Alors, SVP, pas d'amalgame avec l'islam du bon père tranquille qui fait son petit boulot comme tout chrétien ou athée de la planète et qui ne demande rien à personne....

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