Blog citoyen d'Hénin Beaumont

Au sujet du papillon...

Il ne s’agit pas ici du charmant lépidoptère qui, dès le printemps volète de jardin en jardin, mais bien de l’amende de stationnement que l’on trouve sur le pare-brise des automobilistes contrevenants.

Un article paru hier dans la VDN particulièrement instructif sur les papillons héninois, restitue les propos de l’adjoint à la sécurité qu’est JM Legrand.

Premier point : l’adjoint reconnaît que la zone bleue du centre-ville n’était plus appliquée. Depuis quand ? à mots à peine cachés, on peut comprendre que la période pré-électorale est peu propice aux papillons… de là à penser qu’un peu de complaisance peut apporter des voix, il n’y a qu’un pas que je vous laisse le soin de franchir, ou pas.

Deuxième point : dès le 1^er mai (c’est demain), des contraventions seront dressées. Et l’on apprend les modalités de stationnement, et de contrôle du stationnement par les agents de police municipale.

Ceux-ci auront non seulement pour mission de contrôler le disque, mais aussi de constater le déplacement du véhicule. Je les imagine déjà accroupis entre les voitures, à faire des relevés de valve entre le sol et les pneus.

Relevés bien inutiles d’ailleurs puisque juridiquement seul le disque fait foi.

Petite précision : avant de verbaliser, ils devront se rendre dans les différents commerces pour rechercher le propriétaire du véhicule en infraction… délation, non-respect de la vie privée, sans compter le temps perdu… pas très sérieux tout ça !

Les jours des papillons seront donc des jours de pluie et de tristesse à l’instar de celle que l’on peut éprouver devant tant de démagogie ! Et quand bien même ces jours seraient beaux, en quoi cela règlerait-il le problème de la circulation et du stationnement à Hénin Beaumont ? Problème qui ne pourra que prendre de l’ampleur dans les années prochaines, avec le regroupement prévu par Dalongeville, de tous les services administratifs municipaux en centre-ville. Puisse cette promesse ne pas être tenue. Cela ne sera ni la première ni la dernière fois. Mais cela, pour une fois, sera utile !

CP

Un CA très animé

Un CA très animé.

En cette période d’après élection, le CA de l’Alliance Républicaine s’est réuni hier soir de 18heures 30 à 20heures15.

Notre mouvement trouve sa richesse dans sa diversité mais aussi et surtout dans le respect que les militants ont les uns envers les autres.

Cela paraît banal de dire de telles choses mais c’est un fait qui doit être souligné.

Pour autant, les points de vue des uns et des autres sur ce qui a été fait et surtout sur ce qui reste à faire suscite non pas des controverses mais des débats très animés.

Nous ne sommes pas d’accord sur tout en permanence. Nous ne fonctionnons pas sur le mode : «  Grand messe » où tel un gourou le leader dispense des propos qui ont pour ceux qui les écoute valeur de vérité.

Ce qui est certain est que l’Alliance Républicaine subsistera.

Envers et contre tout, elle s’inscrira définitivement dans le paysage politique Héninois.

Nous ne sommes pas pressés.

Nous sommes animés par une conviction inébranlable : Un jour les Héninois nous donneront raison.

Pour autant, nous tirons de cette première expérience les leçons qu’il convient.

Nous évaluons sans fausse modestie ce que nous avons réussi.

Nous évaluons également nos erreurs.

Demain ne sera plus comme hier.

Frais et autres frais divers...

En ce dimanche de beau temps, plus propice à l’insouciance et à la balade qu’à l’analyse politique, je fais toutefois mon petit tour habituel des blogs héninois.

Je ne saurais que trop vous conseiller la lecture d’un article édifiant sur le blog ami " Tempête sur Hénin ", article intitulé Pantins du jour, ATTENTION!

Juste un petit conseil, attendez d’avoir déjeuné, ou vous risquez d’avoir l’appétit coupé…

Bonne lecture !

CC

http://municipale-henin.oldiblog.com/

A quoi sert le blog du MJS?

A quoi sert le blog du MJS ?

N’ayant point l’audace de ceux qui se plairont à répondre tout naturellement " à informer ", ni la monstruosité des apparatchiks des bien-pensants se délestant d’un " à manipuler ", je me limiterai à quelques tentatives de réponses qui bien évidemment ne pourront déborder du cadre qu’impose le politiquement correct.

Les 3 dernières notes parues sur ce blog me seront, à cet effet, particulièrement utiles.

Ce 24 avril 2008, nos amis ont décidé de se consacrer activement à la promotion d’une enseigne " maison " venant tout juste de s’implanter sur Hénin Beaumont. Quoi de plus pertinent que de se consacrer à l’hymne mobilier pour mieux dissimuler son immobilisme ? Parce que mon très cher Pierre, il est de vos écrits (vous les attribuer, n’est-ce pas trop exagéré ?) qui en moi suscitent quelques éruptions neuronales ?

Ainsi en est-il, je vous cite de " l’implantation d’une surface commerciale (qui) est toujours une bonne nouvelle pour l’emploi de par le turn over régulier opérant dans la grande distribution ". J’entends bien que le PS entend aujourd’hui ne plus porter le débat sur l’opposition entre réformes et Révolution, mais tout de même. La vitesse à laquelle de l’intention vous passez à l’acte va à l’encontre de ce de quoi vous vous efforcez de vous éloigner: Il s’agit là, en effet d’une révolution. Votre penchant pour les contrats en intérim ou précaires, les seuls à instaurer un turn-over souhaité, est surprenant. Je ne le juge pas puisqu’il s’agit de votre liberté d’opinion politique… Oups ! Puis-je toutefois en noter quelques limites, Monsieur l’adjoint à l’emploi ? Puissiez vous en effet m’expliquer en quoi le turn-over prendrait fin sitôt les 20 "expatriés " lillois remplacés par des héninois de souche ? Puissiez vous m’expliquer en quoi l’échelle locale est la plus pertinente pour développer une politique en faveur de l’emploi ? Cette logique, dépassée même à l’époque de la pleine industrialisation du bassin minier, est elle aussi, de fait, révolutionnaire. Quant à dire que votre préférence héninoise à l’emploi peut être comparée à d’autres types de préférence notamment nationale, il n’y a qu’un pas que je laisserai à chacun le soin de franchir ou non !

Votre 23 avril 2008, vous le consacrez au compte rendu d’une conférence de presse traitant de la présence militaire française en Afghanistan. Une position nette et tranchante que vous résumez par ce titre " celui qui n’aime pas la paix ne peut combattre la guerre. ". Comme je vous comprends …

Et que dire de celui qui n’aimant pas la mayonnaise ne peut combattre le ketchup ? Une préoccupation qui pourtant vous honorerait également car attestant de votre volonté d’agir dans le domaine de la prévention et de la lutte contre l’obésité. " C’est pourquoi il faut fixer des conditions à toute intervention supplémentaire de nos armées, avec une évaluation des résultats de l’intervention actuelle. ". Certes. Et c’est pourquoi aussi il faut fixer des conditions à toute ingurgitation supplémentaire de démagogies avec une évaluation des résultats de l’intervention actuelle, des 2 adjoints héninois en charge de l’emploi, de la formation (Hep, pssst. Le vrai défi, Pierre, il est là, sur la formation) et de la culture.

Dernier exemple en date (et concernant les dates, ce n’est pas le choix qui manque chez vous…), votre 22 avril. L’illustration accompagnant votre Joyeux Anniversaire adressé à votre président bien aimé - dans toute haine, il y a une part d’amour. En cela je n’éprouve aucune haine à votre encontre - Nicolas Sarkozy, est intéressante. Elle confirme les dérives par le biais desquelles vous estimez vous donner un peu de consistance. Seul manque le son qui autrefois accompagnait le salut hitlérien. Votre attitude, bien que probablement non diffamatoire juridiquement, n’en est pas moins abjecte, y compris pour un non sympathisant de l’UMP. Manifestement, l’essence nauséabonde de tracts anonymes distribués en mars délivre encore son parfum.

La gestion d’une modération blogesque acceptant la vocifération gratuite à l’encontre de personnes citées, mais refusant toute attitude s’essayant très modestement au dadaïsme ou visant à analyser les non-sens, paradoxes et autres inexactitudes des articles rédigés semble attester de votre volonté de faire de cet espace un crachoir. Peu importent les glaires et ses retombées. Du pain, et des jeux. Oui décidément votre passage au pragmatisme est une révolution.

Mais qu’aurez-vous donc à vendre de différent quand viendra de nouveau le temps de vos rencontres électorales avec le FN, si ce n’est du réchauffé ? Gardez votre mouchoir souillé par manque d’humilité, vous en aurez besoin pour cacher ce saint dont vous ne voudrez vous auréoler.

A quoi sert le blog du MJS ? A parler uniquement du MJS, pardi ! Pour ma part, j’en resterai là. Je ne puis qu’inviter ses visiteurs à le délaisser. La seule réponse qui vaille aux dérives ci-avant exposées.

What else ?

Bonjour! (par Georges Bouquillon)

Et bien dites donc, cela devait " être cool " après les élections municipales ! Que nenni !

Ayant très peu, ces derniers mois reposé ma vieille tête et mes vieilles jambes, je me suis accordé deux grosses semaines au soleil !

En effet, je fais partie de ces nantis, ex-soixante- huitards embourgeoisés qui peuvent, quand bon leur semble, profiter d’une demeure méridionale. (modeste, je vous rassure). Je n’en ai pas honte, ne devant rien matériellement à quiconque, sauf bien évidemment, à mes parents qui ont économisé pendant la durée d’une vie, autant ce que certains, issus également des classes laborieuses, amassent en moins de 3 mois. Je ne citerai pas de noms ! Ils se reconnaitront !

Cette prise de distance par rapport à ce qui est matériel me permet d’user et parfois même d’abuser d’une totale liberté.

Liberté vis-à-vis de ceux qui, tels des navigateurs en eau trouble, de mensonge en mensonge, de trahison en trahison finissent par n’avoir qu’un seul objectif : " Paraître ".

Liberté également vis-à-vis de toute forme de pouvoir.

La liberté n’a pas que des avantages.

Elle est paradoxalement parfois contraignante. Elle oblige parfois à admettre celle des autres. Par exemple, je me vois contraint d’accepter la liberté journalistique de Monsieur Wallart. (VDN).

Si j’en crois certains observateurs, son article relatif aux deux dernières séances de conseils municipaux serait en décalage total avec ce qui s’est réellement passé. Y-a-t-il lieu de crier " Au scandale  " ? Certes pas……au nom de la sacro-sainte liberté de la presse qui autorise celle-ci à informer ou à désinformer comme elle l’entend….Après tout, on n’est pas obligé d’acheter le journal !

A titre personnel, je reconnais à Monsieur Wallart le droit d’exercer son art à sa guise, je lui reconnais également celui d’afficher ses affinités politiques en embrassant qui il veut avant la fin d’un conseil municipal, y compris la fille de Micheline Rudi dont on connaît l’action militante en faveur de Monsieur le maire d’Hénin Beaumont. Au-delà de l’anecdote, certains petits esprits dont je suis, auront la médiocrité d’y voir ce que d’aucuns subodoraient depuis un certain temps, à savoir un parti pris pour la majorité actuelle.

C’est sa liberté. 

PS : Il va de soi que seul le journaliste nommé est concerné, et en aucun cas l’organe de presse qu’est la VDN.

Petits mensonges sans conséquence?

Ces dernières semaines, faites de petits riens apparaissent d’ores et déjà significatives des us et coutumes d’un maire que quelques têtes d’affiche dîtes de la gauche héninoise promettait pourtant révolus.
Ainsi que penser de l’attitude de notre édile prétendant choisir l’avocat chargé de la défense des intérêts des ex-salariés de STAF et de faire prendre en charge par la commune les frais occasionnés ? Que personne ne s’y méprenne, ces personnes méritent qu’un soutien moral leur soit apporté et que leurs droits soient respectés. Mais celui dont IKEA est la fierté de son dernier mandat sait non seulement qu’il ne dispose de quoi modifier la donne, mais aussi que sa dite proposition ne pourra être efficiente.
Certains évoqueront l’incompétence. D’autres pourront avancer l’ignominie ou l’exploitation.

Une exploitation de l’information qui en des temps peu éloignés avait conduit ce même acteur à faire de Sainte Henriette la pierre angulaire de sa magnificence. Qu’en est-il aujourd’hui des 6M d’€ dépensés par la CAHC et de cette ambition communautaire revue considérablement à la baisse ? Que personne ne se méprenne, on ne peut se réjouir du gâchis. Mais il y a des silences qui sont parfois abasourdissants. Celui de M. Dalongeville est retentissant et nous orientera, le temps venu, vers les rives de la CAHC. Ces mêmes rives où il nous conviera pour se défausser, comme d’autres sur ces satanés technocrates de Bruxelles, de l’augmentation des impositions communautaires.
Que personne ne se méprenne, il serait aisé de focaliser les reproches sur celui dont les prérogatives supplantent celles de ces colistiers. La Cour des Comptes jugera de la viabilité du budget adopté récemment par la majorité municipale. Dans cette attente, notre homme pourra se prévaloir d’un taux communal resté inchangé en 2008. Un taux que l’audit, pourtant promis Madame Lienemann aux heures suffocantes de mars dernier, aurait probablement déconseillé !
Et puisqu’il est de bon ton de vouloir donner la leçon, Madame Lienemann, vos 30 glorieuses héninoises sont désormais bien consommées. Justifier d’une position majorale par le recours d’un argumentaire bien théorique mais éloigné des pratiques est tout bonnement tout aussi condamnable que la dite position. Ne vous en déplaise, Madame Lienemann, céder un terrain à Beaumont à une SCI privée, fut-il pour y créer un  pôle médical au prix de 50 € le m2 relève d’une offre promotionnelle dont nombre de particuliers et autres créateurs d’activités économiques aimeraient probablement se prévaloir. Quelques gens bien informés vous auraient conseillé une base de 130 € le m2. Que personne ne se méprenne, le différentiel constaté ne pourra réduire la voilure des actions qui ne pourront être mises en place et qu’il conviendrait pourtant de développer. Tout au plus peut-on dénoncer et regretter le procédé ainsi que le paradoxe d’un privé parfois chouchouté et par ailleurs, par les mêmes, dénoncé.

Tout ceci peut apparaître bien éloigné des préoccupations principales de nombre d’héninois et qu’il convient donc de parler, au plus, de petits mensonges sans conséquence. J’y trouve pour ma part bien plus : de quoi permettre notamment au FN de reprendre racine sur un terreau de nouveau arrosé … de quoi approvisionner la gibecière des alibis fantoches et passéistes. D’autres en effet savent tout autant jouer de la communication et des médias.
J’y trouve surtout pour ma part bien pire : Hénin Beaumont se vide de son avenir à trop vivre de ses lacunes. Que Gérard Dalongeville soit sorti vainqueur des dernières municipales ne peut, à ce jour, être contesté. Je ne puis en dire autant de tous les héninois, contribuables ou non !

What else ?

Démocratie participative...

Le maire d’Hénin Beaumont, concernant la démocratie participative, se vante d’avoir été à l’origine des conseils de quartiers. Que nenni ! à l’époque de Darchicourt, ils existaient déjà, sous une forme quasi identique à aujourd’hui.

En revanche si Dalongeville est à l’origine de quelque chose, c’est bien de la nomination des adjoints de quartier (au nombre de 3, sans compter l’adjoint de Beaumont), et des indemnités qui vont avec…

Comment fonctionnent les conseils de quartier à Hénin beaumont ?

Les membres sont répartis en plusieurs " collèges " : Elus Municipaux, Associations et milieu socio-économique, Services publics de proximité, Habitants, et Suppléants.

Les membres ne sont pas élus, mais désignés par l’adjoint de quartier, pas d’appel à candidature.

Une fois désignés, ils sont répartis dans un des " Collèges ", de manière souvent aléatoire. Un président ( un élu), et un vice-président du conseil de quartier sont également désignés. Ainsi constitués, les conseils sont tout sauf démocratiques, ils ne sont que le reflet, par quartier, de la politique municipale. Et un tissage régulier de la population, la création de réseaux, et bien évidemment, pour les membres, la sensation de faire partie du " haut du panier ", du microcosme dalongevillien, ce qui sans nul doute, flatte l’égo des plus ambitieux.

Il n’existe pas de réglement intérieur. Les changements, démissions, exclusions, ne sont pas réglementés. Il est ainsi arrivé à quelques personnes de se voir mises à l’écart, sans même en être informées, et d’être remplacées par d’autres qui n’avaient pas donné leur accord préalable. Je parle en connaissance de cause, puisque je me suis retrouvée, en 2006, " persona non grata " au conseil de quartier Est, sans explication, sans information. Ah démocratie, quand tu nous tiens !

Les décisions sont prises en amont (par les élus) et le conseil de quartier est ensuite informé, en séance plénière.

Le conseil de quartier n’a donc qu’une fonction consultative… et encore.

Pourquoi ce petit rappel maintenant ?

Parce que très prochainement aura lieu le renouvellement de ces instances, et que, pour les personnes intéressées, il suffira de se présenter à la 1^ère réunion, et de demander à être membre. Si votre opposition au maire n’est pas clairement affichée, vous pourrez ainsi vous rendre compte par vous-même de ce simulacre de démocratie participative. Mais soyez vigilants, ou vous serez très vite repérés par le clan…

CC

Basses manoeuvres chez STAF.

Depuis quelques jours, l’actualité sociale héninoise est marquée par les difficultés rencontrées par les salariés de l’entreprise STAF.

7 salariés se sont vu proposer un reclassement au Brésil ou en Turquie, au salaire local, c’est à dire environ 230 à 300€.

Ceux-ci, réunis en collectif, ont dans un premier temps, fait appel à un avocat, en la personne de Me Ehoké, du Barreau d’Arras.

Celui-ci a commencé à instruire l’affaire, rencontrant également l’adjoint à l’emploi, Pierre Ferrari, et faisant appel à la DDT (Direction Départementale du Travail) pour les alerter sur les propositions inacceptables faites aux salariés. Il a aussi rapidement étudié diverses solutions et contre-propositions.

Mais depuis, Me Ehoké n’est plus en odeur de sainteté, et le message ci-dessous, envoyé par Auxane, vous aidera à savoir pourquoi.

Concernant STAF et le problème d’avocat, je viens d’apprendre les dernières nouvelles. Dalongeville veut faire prendre en charge les frais d’avocat par la commune, si l’avocat est choisi par ses soins.
C’est un avocat de Paris qui est l’élu. Et que fait-on de l’avocat qui a commencé l’affaire? Maître Ehoké a d’ailleurs défendu les salariés devant les caméras de TV. Il n’a qu’un seul défaut: il ne partage pas les idées politiques de sa majesté Gérard, et sa femme était sur la liste de l’AR… pourtant c’est un avocat réputé au Barreau d’Arras, et qui est contribuable héninois… Ah la la, les basses manoeuvres… tout ça sur le dos des salariés en plus. Et puis ça fait du rififi entre les élus communistes et socialistes, les communistes ne comprennent pas pourquoi les frais seraient pris en charge par la mairie… sale histoire… les salariés de STAF n’avaient vraiment pas besoin de ça!!

CC

Ste Henriette, ne vois-tu rien venir?

Il est un temps pas si lointain où, à Hénin Beaumont, notre « cher » maire n’avait que Ste Henriette à la bouche.
A chaque conseil municipal, à chaque réunion de conseil de quartier, de développement, il nous faisait manger de ce projet, à toutes les sauces. Le point d’orgue ayant été la cérémonie des vœux 2006, où un tapis rouge et une tribune avaient été offerts à Rémy Juliennne et son école de cascade.
On allait voir ce qu’on allait voir, et pour sûr, Dalongeville y était pour beaucoup ! Tout juste s’il n’avait pas déjà enfilé sa combinaison de pilote … encore que pour ce qui est de piloter à vue, Dalongeville en connaît un rayon… Mais trêve de plaisanteries, aujourd’hui, plus de cité lacustre, ni d’école de cascade, ni de piste de ski … mais déjà 6M d’€ dépensés par la CAHC.
Le grand ordonnateur du projet a été déchu, ses camarades communautaires ont récupéré l’encombrant bébé. Un des Vice-Présidents (Jean Urbaniak pour ne pas le nommer) propose de revoir les ambitions à la baisse, et d’occuper le site pour en faire une zone de logements et de commerces. Les autres ne veulent pas « dénaturer » le site et préfèrent ne rien y faire si ce n’est « un grand projet ».
Eh oh, 6M d’€, c’est pas rien ! ! !  pour l’instant, dépensés à perte… Et silence de Dalongeville sur ce sujet bien sûr…
Après Nessie dans le Loch Ness, Ste Henriette réapparaîtra-t-elle de temps à autre, tel un serpent de mer dans les eaux troubles de cette cité lacustre ?

ELOI VOUDRAIT Y VOIR CLAIR...

La démocratie est une formidable victoire sur l’obscurantisme et la tyrannie.

Les dernières élections législatives ou municipales ont permis aux parties en présence d’échanger, de confronter leurs idées respectives, témoignant ainsi de la réalité du sens accroché au mot.

Tous promettaient la transparence, le respect des citoyens et l’explication régulière des partis pris au nom des citoyens.

Tout allait devenir plus clair, rien ne serait plus comme avant d’autant que la première des socialistes s’était présentée comme parangon de vertu, affirmant dans tous les médias son inflexibilité et la pertinence de ses analyses.

ON ALLAIT VOIR CE QU’ON ALLAIT VOIR !

Mais, depuis, le printemps est arrivé, très frisquet cette année, orageux et neigeux, présentant chaque jour nuages et éclaircies, provoquant coqueluches et catarrhes, comme annonciateur de lendemains difficiles. Il est sûr maintenant que les promesses d’hier auront du mal à être tenues. C’est bien évidemment de la faute au temps !

Qu’en est-il à J + 3O après l’élection de notre maire ?

C’EST A  NE RIEN Y COMPRENDRE.

La météo, comme d’habitude s’est gravement trompée. La pluie annoncée sur le PARIS ROUBAIX n’était point présente au rendez-vous. Les embellies prévues sur la ville pas franchement perceptibles.

Les impôts locaux devaient baisser, ils ne baisseront pas mais seront augmentés par le réajustement systématique à la hausse de la base d’imposition et surtout par le choix volontariste, pris à l’unanimité par les élus de la communauté d’agglomération.

Les charges en personnel devaient marquer le pas. Cela ne sera pas tant l’entêtement de nos élus est grand. Contre toute attente ils annoncent toutes fanfares sorties, des recrutements qualifiés pour aider le maire (il est vrai qu’il en a bougrement besoin au moment ou un des emplois de la commune rétribué à 7500 euros lui fait maintenant défaut, puisque son titulaire n’est plus payé qu’à 1300 euros / mois pour sa nouvelle fonction élective à HENIN BEAUMONT).

Nous nous faisons beaucoup de souci pour ce garçon d’autant que son recasement à la CAHC n’a pas abouti.

En parlant de CAHC, l’échec de FACON n’a-t-il rien à voir avec le refus d’embauche de ce nouveau smicard, à hauteur de 7500 euros/mois?

Au nom de la démocratie, le maire d’HENIN BEAUMONT nous doit des explications de vote sur la désignation inattendue et rocambolesque du président de la CAHC, à moins qu’il ne pense en être exonéré au titre de sa récente réélection?

Eloi en appelle au sens civique de la première des socialistes, à la hardiesse du sémillant représentant local du MJS, au talentueux représentant du PCF riche de tant de préceptes éthiques parfois énoncés, si souvent oubliés ; à la présence remarquable de la femme de celui qui, celui que, s’en étant allé fort l’honneur….. pour que les choses à dire soient dites… , au président local de la Ligue des Droits de l’Homme , très certainement très occupé à rédiger le billet qu’il mettra bientôt dans nos boîtes aux lettres concernant l’idée personnelle qu’il se fait de la manière dont on traite les TIBETAINS. ….pour que par la voix de toutes ces intelligences réunies, le citoyen Héninois apprenne à vivre sa ville en toute connaissance de cause, sans que ne soit plus jamais masquées les manœuvres politiciennes dont le peuple souffre tant.

Eloi n’y VERRA CLAIR que si le grand opticien local (il n’a pas dit le grand MAMAMOUCHI) consent à mettre à sa disposition les seules lunettes correctives lui permettant de reconnaître 10/10, et en toute transparence, ce qui se trame ici- bas.

Après tout, il existe aussi à HENIN BEAUMONT une masse populaire non corruptible, à qui l’on doit des comptes, lettrée de surcroit, et payant rubis sur l’ongle l’impôt local (là n’est pas son moindre mérite !) permettant entre autre de rétribuer les élus.

TOUT N’EST DONC PAS PERMIS !

EST-CE CLAIR ?