La discrimination marque une séparation. Toute discrimination qui met à l'écart une personne ou un groupe de personnes (comme dans "l'apartheid") est illégitime et condamnable. Cette discrimination peut porter atteinte à la dignité ou à l’intégrité de la personne. Prôner des inégalités, injurier, menacer, à raison de l’origine ou d’une nationalité, d’une ethnie, d’une race, d’une religion, de la langue, tout comme à raison du sexe ou de la préférence sexuelle, d’une situation de santé particulière ou bien d’un handicap sont des attitudes discriminantes. Le sont également le fait ne pas procurer un service (dans un restaurant, un hôtel ou une discothèque) ou de refuser pour les mêmes raisons un logement libre ou un travail disponible. Or, la discrimination est dans ces cas un délit, qui peut être poursuivi et puni en justice d'une amende et/ou d'un emprisonnement.
Les moyens de lutte contre les discriminations
L'origine et l'appartenance à un groupe spécifique des personnes discriminées n'ont pas besoin d'être réelles pour condamner la discrimination, elles peuvent être simplement supposées par leur auteur. Ainsi, des refus de services ou des propos racistes proférés contre des Africains sont passibles de sanction même si les personnes visées n'ont pas la nationalité d'un État africain ; et les discriminations à raison d'une religion sont incriminées même si la victime ne croit pas en Dieu ou si elle est adepte d'une autre religion.
De plus en plus souvent, on observe des phénomènes de cumul de discriminations, qui ont alors une gravité d'autant plus grande : une femme peut être victime de discrimination sexiste, de propos racistes et d'injures à raison de son apparence physique.
La lutte contre les discriminations est l'objet de lois nationales (en France, la première loi date du 1er juillet 1972, elle a été plusieurs fois modifiée et complétée) ainsi que de conventions européennes et internationales.
La Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (la Halde), créée par la loi du 30 décembre 2004, a compétence sur toutes les discriminations prohibées par la loi ou par un engagement international.
formidable , j' imagine mary et alpern responsables de discothéque ( attention , y'a du taf ) laissez entré " tout le monde " et s' apercevoir rapidemment après quelques bleus sur la tronche que leur caiss et vide
on censure mr bocquillon ?
Rédigé par : TRISTE 9IRE | 30 août 2014 à 14:04
c' est beau , sainte Mary , en une phrase vous nous faites découvrir l' humanité , bon sang , mais c' est bien sùr
Rédigé par : le bonheur est dans le pré | 31 août 2014 à 09:12
Il n'y a pas que dans les boîtes de nuit où l'intolérance règne et le phénomène n'est pas nouveau... pour qui a vêcu le recisme par procuration avec son épouse et ses enfants.
Le racisme n'est pas l'apanage d'un parti, fut-il d'extrême droite; c'est une constatation vêcue à l'école de la République, dès la maternelle, puis, dans la rue, dans les commerces, dans les actes quotidiens. Le phénomène n'échappe même pas à ceux dont les autorités politiques se targuent d'humanisme ou de l"humain d'abord"...
Ceux qui en souffrent et veulent continuer à se battre désertent les secteurs où ils ne se sentent plus en sécurité, ne serait-ce que parce que le travail n'est pas pour eux, puisque réservé au clan endogamique.
Rédigé par : anonyme | 09 septembre 2014 à 12:52
Ben tiens, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écrit et reportez vous à 12:52 !
Ce n'est pas parce que j'ecris que le FN n'a pas lapanage du racisme qu'il ne l'est pas, puisque, par définition même il est le parti de l'exclusion, mais... cette exclusion est pratiquée par les autres partis traditionnels, non pas en tant que doctrine, mais c'est dans la pratique de certains de ses membres.
Après tout, les partis ne sont que le reflet de la société dans laquelles ils évoluent: et dans le genre, le Pas de Calais, -notamment le bassin minier- est assez précurseur.
Rédigé par : anonyme | 11 septembre 2014 à 22:58