« Eloi décrypte et propose. | Accueil | AU SUJET DE LA CENSURE SUR CE BLOG. »

12 avril 2009

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

http://lesgensdelocon.forumjonction.com/la-vie-dans-le-bethunois-f9/le-caca-chruszez-t216.htm

Édifiant, non ?

Dans un rapport d’observations définitives consacré à la ville de Béthune datant du 28 mars 2000, la Chambre régionale des comptes avait sérieusement taclé Jean-Pierre CHRUSZEZ, ancien Directeur général des services de la ville et alors éminence grise de Jacques Mellick (condamné pour subornation de témoin et faux témoignage).

Extraits du rapport de la CRC datant du 28 mars 2000 :

« 2-1-1 – Les fonctions de secrétaire général

a) M. CHRUSZEZ

1) la situation dans la commune avant la création du SIVOM

Cette situation est extrêmement confuse et juridiquement incertaine en raison de la juxtaposition d’actes contradictoires et rétroactifs.

Si le SIVOM a été créée le 6 juin 1988, le 2 mai 1988, la sous-préfecture de Béthune a reçu 6 actes dont le plus ancien est daté du 19 décembre 1985 et qui surclassait la ville de Béthune dans la catégorie des villes de 40 000 à 80 000 habitants. Ce document était accompagné d’un arrêté municipal en date du 20 décembre 1985 qui reclasse M. CHRUSZEZ dans la fonction de secrétaire général de commune de 80 000 à 120 000 habitants, avec prise en compte pour sa rémunération à compter de janvier 1988 (exercice de transmission des actes).


En complément, un arrêté du 3 septembre 1986 annule un arrêté pourtant pris le même jour et transmis au contrôle de légalité le 10 septembre 1986 qui promouvait M. CHRUSZEZ dans la carrière de secrétaire général de commune de 20 000 à 40 000 habitants. Un arrêté du maire du 2 mars 1988 intègre M. CHRUSZEZ dans le grade d’administrateur territorial.


Le caractère très tardif de la transmission de ces actes au Préfet, la contradiction entre les différents documents et l’absence de certitude sur l’existence de la délibération du 19 décembre 1985 conduisent la Chambre à considérer que c’est la publication des décrets du 30 décembre 1987 déterminant les conditions d’intégration des administrateurs territoriaux qui explique la production de cette avalanche de décisions.


2) les confusions dans les fonctions de direction

Si M. CHRUSZEZ a été muté au SIVOM en avril 1989, avec effet au 1er janvier 1989, il a néanmoins continué à exercer des fonctions au sein de la commune, puisque selon les réponses même de l’ordonnateur, le directeur général du SIVOM a cumulé les fonctions avec celles de secrétaire général de la ville et de directeur de cabinet du ministre maire, au moins jusqu’à la fin de l’année 1992.


Cette confusion dans les fonctions, liée pour partie aux conséquences de la gestion réelle des personnels par la ville, a compliqué la gestion de la commune et entrainé une certaine ambiguïté dans les rôles dévolus à chaque structure. Pendant une période (1992), M. CHRUSZEZ a d’ailleurs été également rémunéré non seulement comme directeur de la régie Béthune Artois Parc, nouvellement créé, mais aussi par le secrétariat d’Etat à la mer. »


Et à la CAHC où "naviguent" de nombreuses béthunoises et béthunois ?

Hénin-beaumont traverse une crise bien réelle dans laquelle tous les coups semblent permis. Ils sont assainés sans détour ignorant les règles élémentaires de savoir vivre. Dans cette jungle sans limite, un homme, qui se prénomme César, endosse sans honte la cape du héros. Il se l’est confectionné sans complexe, sûr d’incarner à lui seul les valeurs qu’il défend. Il nous gratifie régulièrement de ses leçons de moral et autres conseils citoyens. Ceux-ci sont pour la plupart simplistes et parfois même sans fondement. Voici donc, selon ce Monsieur, comment entretenir de bonnes relations avec ses voisins. Vendredi 19 avril 2009, j’ai été frappé violemment au visage par ce « citoyen modèle ». En effet, après avoir été insulté et menacé à plusieurs reprises avec le bâton qu’il tenait à la main, cet individu a fini par me frapper au visage. Ceci m’a valu plusieurs points de suture et 5 jours d’ITT. Je me suis donc rendu au commissariat d’Hénin-beaumont pour déposer une plainte contre lui. Je ne peux pas, aujourd’hui, rester muet et ne pas vous alerter de cette situation. Je venais simplement affronter son regard afin qu’il m’explique les raisons pour lesquelles, depuis quelques jours, il se plaisait à disposer ses poubelles, l’une pleine, l’autre vide, de telle sorte qu’elles gênent notre sortie du garage. En bon citoyen, il a ignoré le dialogue, et a préféré frapper le visage de son voisin. Bien entendu, les services de police l’entendront, il aura à expliquer son geste et devra en assumer les conséquences. Je tiens à votre disposition mon dépôt de plainte pour preuve de l’exactitude de mes propos. Je n’ai nulle intention d’agir, comme beaucoup d’acteurs politiques Héninois, pour salir gratuitement un concitoyen. J’espère que vous prendrez toutes les dispositions nécessaires pour reconsidérer le statut que vous lui accordez, et qui nuit selon moi à votre action politique.

Très cordialement.
JV

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Blog powered by Typepad

avril 2016

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  

Devenir Fan