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11 avril 2008

Commentaires

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Chère Christine,

vous paraissez surprise mais ce Wallart impose ses opinions personnelles depuis 7 ans à ses lecteurs. Devrons-nous subir encore longtemps les sempiternels commentaires désobligeants de ce petit journaliste , de surcroit exterieur à notre ville ?

N'est -il pas d'ailleurs étrange qu'il soit unanimement critiqué par l'ensemble des politiques ?

Duquenne, Briois mais aussi Dalongeville en 2003 avec voix de la haine et même auparavant Darchicourt...

En fait, tout comme Cristaline, je pense que vous vous apercevez maintenant de la véritable nature de ce journaliste, mais ses manières d'agir sont les memes depuis toujours. C'est vrai qu'il a été, à un moment ou à un autre de son parcours héninois, toujours opposé à quelqu'un, parmi les politiques. Vous en faites les frais aujourd'hui, mais la roue tourne, vous verrez...

je l'avais toujours dit que "wallart, je ne le sentais pas ce mec-là" et bien comme d'habitude, j'avais raison, en toute modestie... En général, je ne me trompe jamais sur la personnalité des gens que je côtoie!

je suis tout à fait solidaire des propos de Christine Coget. En privé, Wallart reconnait qu'il ne fait pas la différence entre une section d'investissement et une section de fonctionnement;si ce genre de conseil municipal l'ennuie, il n'a qu'à déléguer un journaliste plus concerné par ces sujets un peu technique.

Ah ce cher Wallart... j'attends avec impatience votre article concernant le CM du jeudi 10 avril, puisque je ne peux me fier à celui de la voix du nord.
je trouve votre article sur ce journaliste (???)très bien, réaliste et je dirai même: Enfin, vous avez osé le remettre à sa place!

L'insolence ne donne aucune couleur à la fadeur.
Et quant la bile fut venue,
Par un seul petit morceau,
De fourche et d'un piètre concerto,
Il montra enfin sa mine,
Se soumettant à qui dort dîne.
Le priant de lui prêter,
Quelques sujets bien indiqués,
Jusqu'à l'édition nouvelle.
Je vous citerai, et de plus belle,
A votre goût , mon amiral, Les benêts verront que dalle,
La brebis n'est pas dangereuse,
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps des os ?
Brebis se crut impétueuse.
Nuit et jour à tout venant,
Je me vendais, ne vous déplaise.
Vous crachiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien : pensez maintenant.

...

Vous parlez du journaliste local (petite ville que la nôtre!), vous parlez de sa veste qu'il retourne.Mais l'avez-vous jamais regardé, il ne porte pas de veste, ce qui lui évite pour le moins d'avoir à la retourner. Vous le présentez comme caracolant aujourd''hui pour l'un, chevauchant un canasson le lendemain ou menant plus tard, de main de maître, un fier destrier; il ne fait là en fait que son métier qui est très simplement de faire vendre du papier aussi recyclé soit-il.Pour l'avoir croisé
et avoir dialogué avec lui, je puis vous assurer qu'il peut être agréable, faussement débonnaire, et vous faire penser qu'il épouse parfaitement vos idées; vous vous épanchez alors,ERREUR, c'est le moment où il boit du petit lait puisqu'il enregistre parfaitement le renseignement extirpé sans torture et qu'il l' utilisera à sa façon là et où il voudra.Est-il rusé, futé, tacticien, fouteux d'brun comme on dit par chez nous? Est-il sympa, reconnaissant, habile? Ce que je sais? c'est qu'il se doit de n'être l'ami de personne, et que nous ne devons jamais l'attendre là où il sait pourtant qu'il aurait pu nous être utile. Utilisons le donc pour ce qu'il est, un journaliste atypique, quelque peu polémiste, souvent présent,pas toujours objectif( mais est-ce objectif de le penser?) comme l'éthique pourrait l'exiger, au détriment du bon mot.Comme il n'a pas de veste, souhaitons seulement qu'il travaille ses papiers en se demandant quels sangs il ne glacera pas, à l'aube, dès l'ouverture du journal.
J'ose espérer qu'il n'y a rien de vrai dans cette idée exprimée qu'il serait à la solde du plus fort sorti des urnes.
Je le crois et le pense suffisamment intelligent pour qu'il dose ses billets à l'aune de LA SEULE vérité qu'un journaliste ( même local) puisse, par professionalisme juger utile à exprimer.
Tout compte fait, la rubrique " Autant vous le dire" nous est apparue parfois comme un bon papier. Son auteur peut facilement comprendre les grognes exprimées, d'où qu'elles viennent d'autant qu'il ne semble pas dénué d'humour.
Mais, par charité, Monsieur WALLART secourez plutôt ceux qui le méritent!

Merci pour le monsieur, Marc Antoine, les marques de politesse qui sont à la base des relations humaines de qualité se font si rares de nos jours sur cette blogosphère sans foi ni loi ni considération pour son prochain...

Au Monsieur:
Et que faites-vous des expressions de type "tonton flingueur", des remarques moqueuses concernant l'AR dans la VDN? Pas toujours facile à expliquer à l'entourage, pas toujours facile à supporter pour les enfants de ces mêmes personnes... La politesse serait-elle à sens unique? Les relations humaines de qualité sont, il est vrai extrêmement rares, et je le déplore tout autant que vous, Monsieur.

Ce Monsieur Wallart ne retourne pas sa veste. Observateur et acteur à la fois, il regarde avec un égal mépris ceux dont il a pour mission de décrire les gesticulations. Il n'a cesse de regretter que sa plume ne soit pas au service d'un dessein plus enviable.

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