Le 18 Juin 1940, le général de Gaulle appelait, depuis Londres, les français à refuser la défaite infligée par les allemands et à entrer en résistance.
71 ans après, la municipalité a tenu à commémorer cet événement fondamental de l’Histoire de France contemporaine.
Rose Marie SLAVERIO, Caroline TROY et Georges BOUQUILLON ont donc déposé une gerbe au monument aux morts du cimetière centre, puis une autre à celui de Beaumont.
Le conseil municipal s’est réuni ce vendredi dans les salons de l’hôtel de ville.
A l’ordre du jour, il s’agissait de désigner les 9 suppléants aux délégués du conseil municipal en vue des élections sénatoriales qui auront lieu le 25 Septembre 2011.
Un conseil municipal de pure forme, donc, où aucune délibération d’importance n’aura été votée.
Un prochain conseil, avec un ordre du jour plus fourni, a été programmé pour la mi Juillet.
Il est souvent de bon ton de persifler notre ville, du fait des affaires autour de l’ancien maire, de sa mauvaise gestion passée, de la présence du FN ou de son centre ville tristounet.
Pourtant, s’il est un atout que l’on ne peut nier à notre ville et qui devrait la faire sortir de la morosité, c’est bien son emplacement géographique. Idéalement située, proche de la communauté urbaine de Lille mais également de la Belgique, elle bénéficie d’une attractivité incontestable.
Ainsi, depuis 2009, on dénombre entre nos murs plus de 1500 nouveaux Héninois.
Essentiellement concentrée sur la zone du bords des eaux, cette croissance de la population héninoise s’est traduite par la construction de presque 700 nouvelles habitations et par la création de 35 nouvelles rues ou résidences.
Ce potentiel d’attractivité fait que de nombreux projets pourraient voir le jour dans notre ville.
Notamment, en matière de transports. La zone de sainte Henriette pourrait devenir à terme un véritable pôle d’échange, dans lequel graviteraient un Tram (Bruay/Hénin) , une gare TGV et un RER (Hénin/Lille).
Certes concernant le tram, un nouveau phasage sera nécessaire.
Quand on sait que les aménagements en matière de transport se font toujours en lien avec la rénovation des centres-villes (comme ce fut le cas entre la zone EURALILLE et le vieux Lille), ces perspectives doivent nous pousser à envisager l’avenir avec optimisme.
Tous ces projets, portés par la CAHC, la région, le SMT, et la commune, sont actuellement à l’étude et nous ne manquerons pas de vous informer sur leurs avancées.
Bonne nouvelle, une section PS va revoir le jour dans notre ville. A un an des présidentielles et des législatives, les militants socialistes d’Hénin Beaumont vont pouvoir remettre le bleu de chauffe pour essayer de convaincre les électeurs qu’une alternative solide existe à la politique de Sarkozy.
Sur le plan local, la secrétaire fédérale C. Génisson , ainsi que le député de la circonscription A. Facon ont fixé deux objectifs à cette section : soutenir le maire en place Eugène Binaisse et faire reculer le Front National.
Cette ligne directrice affirmée sans équivoque, c'’est donc avec satisfaction que nous voyons le retour du parti socialiste entre les murs de notre ville. Nous souhaitons à celles et ceux qui feront vivre cette section tous nos vœux de réussite dans l’entreprise difficile qui consistera à convaincre les Héninois que les valeurs du socialisme sont plus à même de défendre leurs intérêts que celles de l’extrême droite.
Un combat digne, indispensable, mais loin d’être gagné, tant le passé récent a fait des dégâts et ébranlé l’image de ce parti dans notre ville. Il faudra de la conviction et de la persuasion à ses militants pour convaincre la frange héninoise qui a délaissé le vote PS qu'il faut tourner la page et regarder vers l'avant.
Réussir dans cette entreprise, c'est tout le mal que nous souhaitons à cette nouvelle section.
Qui dit fin d'année scolaire dit spectacles et fêtes en tous genres. Tout cela pour le plus grand bonheur des petits et de leurs parents.
L'école Pantigny élementaire n'a pas dérogé à la coutume en présentant un spectacle très ambitieux et très réussi: une comédie musicale intitulée "Ma copine Gaïa".
Un travail d'une année, réalisé par les élèves du CP et du CE1, en partenariat avec l'escapade, qui aura abouti hier par cette très belle représentation devant un public conquis.
Puis ce samedi, ce fut au tour des petits de l'école maternelle Pantigny où exerce Cécile Bailly, enseignante très appréciée et également conseillère municipale déléguée à la culture, de nous présenter un florilège de chants sur le thème "du temps qui passe". Un thème qui, en dépit de leur jeune âge, aura visiblement inspiré les enfants, si l'on s'en tient à la très belle qualité de leur prestation. Bravo à eux, bravo à Cécile et à toute l'équipe éducative.
Les chants terminés, RM Slavério, adjointe aux affaires scolaires, a pris la parole et a rappelé aux parents qu'actuellement avaient lieu les inscriptions pour les centres aérés estivaux.
Trois ans après avoir validé les tracés de leur ligne de tramway, les élus des ...
communautés d'Hénin-Carvin et de Lens-Liévin ont fait machine arrière, samedi matin, lors d'une réunion qui s'est tenue à Hénin-Beaumont.
Pour Jean-Pierre Kucheida et Jean-Pierre Corbisez, présidents des deux « agglos » minières, il fallait confirmer la reprise en main collective de ce lourd projet dont le coût s'élève à 655 millions d'euros dont 380 pour le tracé les concernant, celui qui va de Liévin à Hénin-Beaumont viaLens.
Moins de trois mois après une première réunion de crise, les élus ont décidé d'abandonner le projet sous sa forme actuelle. « Trop de divergences étaient perceptibles entre nous », a déclaré Jean-Pierre Kucheida, à l'origine de cette conciliation. Le maire de Liévin n'enterre pas pour autant le projet : « Nous voulons toujours d'un tramway mais nous allons remettre à plat toutes les hypothèses.
» Son homologue sur le versant héninois, Jean-Pierre Corbisez, ne dit pas autre chose : « Il faut trouver une cohérence globale, y compris entre les différents types de transport collectif. »
Repartir de zéro, cela veut dire réaliser un diagnostic pour connaître les besoins et les attentes de la population en termes de transport collectif. En attendant, quatre années ont été perdues, sans compter les sommes en études déjà engagées par le Syndicat mixte des transports Artois-Gohelle.
Cette décision entraîne aussi la perte d'une subvention promise par l'État de 57 ME. Pour la mise en service, prévue jusque-là en 2016, on table désormais sur 2018.
Parmi les réactions, le maire de Lens, Guy Delcourt (PS), confirme sa position en faveur du report : « Nous devons redéployer les bus dans les communes rurales et les cités minières, ensuite on fera passer le tramway. » Si le communiste Bruno Troni estime que la raison l'a emporté, il se dit sceptique sur l'avenir du tramway : « On dit qu'on réfléchit différemment mais c'est pour mieux enterrer le projet.
» Le MRC Jean-Marie Alexandre donne la priorité au stade Bollaert et au Louvre-Lens. « Si le tramway est reporté de trois ans, ce n'est pas la mort », estime le maire de Souchez. • Y. P. ET PH. B.
source: la voix du nordEugène BINAISSE, maire de la ville, ainsi que de nombreux élus de la majorité, étaient présents pour commémorer la fin de la guerre d'Indochine ( 1954), qui marqua le début de la période de décolonisation pour notre pays.
Retrouvez l'intégralité du discours réalisé par Eugène BINAISSE pour l'occasion en cliquant ici
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