Scène cocasse lors du denier conseil municipal. Alors que conformément aux préconisations de la chambre régionale des comptes , E. Binaisse présentait les conventions qui dorénavant réguleront les relations entre les associations et la municipalité, S. Briois a cherché de façon bien opportuniste à tirer un bénéfice politique de cette situation.
Feignant d'exprimer de bons sentiment pour un milieu associatif auquel il ne s’intéresse en général qu’avec beaucoup de parcimonie, le conseiller frontiste a déclaré à E. Binaisse : « Avec vos conventions, vous allez passer du laxisme au caporalisme. Laissez donc ces gens pleins de bonne volonté tranquilles. Les associations sont composées de bénévoles qui ne cherchent qu’à rendre service à leur prochain. »
Effectivement, sauf qu’E. Binaisse, guère ému par ses propos, l’attendait sur ce terrain et n’a pas manqué de lui faire remarquer que d’une part : « Il n’y a rien de plus grave que de ne pas être dans la légalité. Or avec ces conventions, je n’ai d’autre souci que de faire respecter la loi. » Et d’autre part et avec beaucoup d’à propos : « Monsieur Briois, vous êtes un défenseur bien peu crédible du milieu associatif. Je ne vous vois jamais aux manifestations organisées par celles-ci. Je ne vous vois jamais non plus aux spectacles de l’Escapade. Alors, parler des associations en termes élogieux, c’est bien, mais s’intéresser, par votre présence, à ce qu’elles font, ça serait encore mieux ! »
Alain Alpern mis en examen ce matin!!
Comme quoi, il ne faut jamais cracher en l'air.
Rédigé par : Jacob | 16 décembre 2011 à 15:24
Finis les câbles disgracieux, rue de l'Industrie à Hénin
Récemment nous vous parlions de cette flopée de câbles accrochés négligemment avec des cordes le long du trottoir de la rue de l'Industrie. Numéricable nous avait alors informé qu'ils prévoyaient de supprimer ces câbles à l'installation hasardeuse pour une nouvelle technologie pour laquelle un seul câble était nécessaire. Eh bien, ça y est, les travaux sont finis et les fils électriques ont donc disparu. Quand c'est pas bien il faut le dire, mais quand c'est bien, il faut le dire aussi. •
Rédigé par : Vu dans VDN | 16 décembre 2011 à 18:19