" Monsieur Bouquillon, vous prendrez la parole que je vous la donnerai"

Il est vrai que désirant intervenir au sujet de la SAEMIC, j'avais omis de lever le doigt ! Mea culpa, mea maxima culpa. Je ne le ferai plus "Monsieur" je le promets.( Humour) .Cela me valut la méprisante et autoritariste réplique citée en titre. D'aucuns diront qu'il s'agit là d'une déformation professionnelle de Principal adjoint de collège.C'est faire insulte à cette profession et à celles ceux, qui, exerçant cette honorable fonction, sont au jour le jour confrontés aux difficultés de leur mêtier .Par la force des choses ils ont dû abandonner ce ton d'un autre temps.Au delà du dérisoire de cette réplique il convient d'en évoquer le contenu. Regrettant que notre groupe ait refusé la vente de biens communaux "MONSIEUR LE MAIRE" évoqua la vente de la SAEMIC pour justifier du fait qu'une commune n'a pas à se considérer comme bailleur social.Ce faisant il approuva cette vente de la société mixte en 2004 mais oublia qu'à la même époque, il distribuait des tracts pour la condamner. Comme quoi, " changer de costume" ça fait parfois changer les convictions....ou plutôt ce qu'il en reste. Quant à la manière dont Madame Vendeville (qui se posait la question de savoir si une mise en concurrence avait eu lieu), elle eût à supporter " Madame Vendeville, vous mettez Mr L......en cause", et bien Monsieur le Maire, je vous lance un défi: Prouvez nous donc ( et si possible pas dans 6 mois) qu'un appel d'offre a bel et bien été effectué au sujet de ces ventes.  Chiche ?  

Comments

[Rédigé par : anonyme]

Il semblerait que vous ayez mis Coget devant les tribunaux pour diffamation. Si c est le cas je vous remercie cette "............." a fait beaucoup de tort

[Rédigé par : Mieux vaut en rire ou clin d'oeil d'une amie.]

Au prochain CM, en tant qu'amie mais ne pouvant me déplacer pour vous les offrir,je vous conseille de vous munir d'une paire de gants,mes petites phalangettes se souviennent de la vilaine règle du directeur de l'école primaire de mon époque.
On ne sait jamais après les réprimandes vous risquez soit les 100 lignes à copier ou les coups de règle sur les doigts, la fessée étant interdite depuis.

[Rédigé par : GB]

A 21h 13, pardonnez moi, mais bien que je partage votre point de vue j'ai ôte un mot et j'ai mis des guillemets.

[Rédigé par : Anonyme]

Je suis l anonyme du 19 décembre. Je comprends que vous ayez blanchi un terme. Je tiens a préciser néanmoins qu il n avait rien d insultant car je vois déjà la posture de victime de l intéressée et s en est pas une

[Rédigé par : GB]

Vous avez raison ce n'était rien par rapport à ce que cette personne s'était permise.