Interrogé hier sur les dérapages de Marine Le Pen, suite à la libération des otages français, le premier ministre fut très laconique. "Cela ne se commente pas" a-t-il dit. Je pense qu'il a raison car dans une telle situation, la meilleure réponse que l'on puisse apporter est effectivement le silence. Le silence désapprobateur vaut mieux que les discours.
Suite: sur les ondes, on ne parle que de cela et je finis par me demander à qui ça profite.
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