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11 mars 2011

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AUTANT VOUS LE DIRE VOUS LE DIRE
samedi 12.03.2011, 05:13 - La Voix du Nord
Et la moralité alors ?

Un tantinet estomaqué, le premier adjoint héninois, Georges Bouquillon, face aux dernières déclarations de Gérard Dalongeville laissant entendre que l'équipe municipale actuellement aux commandes n'avait « toujours pas sorti un projet à elle depuis un an et demi ».
« Je le trouve particulièrement gonflé ! » commente M. Bouquillon. « Je tiens simplement à lui rappeler que notre premier projet a été de restaurer l'image de la ville en terme de moralité après les années Dalongeville... Autre projet, et de taille également celui-là, que de résorber l'énorme déficit de la Ville mais aussi les 9 M E de factures que Gérard Dalongeville avait laissées dans les tiroirs. Partant de là, ce monsieur est très mal placé pour nous donner des leçons de gestion municipale ! » Quant au projet ANRU à propos duquel l'ex-maire se targue d'avoir lui même tout ficelé, le premier adjoint précise qu'« effectivement, ce projet avait été accepté depuis longtemps. M. Dalongeville n'avait plus qu'à le réaliser. Seulement, voilà, il a choisi, pour des raisons douteuses, de ne pas le réaliser et faire plutôt plaisir à certains de ses camarades. Ce qui fait qu'aujourd'hui on a cinq ou six ans de retard sur ce projet... À la lumière de tout ça, l'ancien maire n'est pas habilité à donner de quelconques leçons à qui que ce soit ! » Une chose est déjà sûre : lors du come back dont rêve Gérard Dalongeville en 2020 (lire notre édition de mardi), Georges Bouquillon ne rejoindra pas son comité de soutien.
Ensemble on fait mieux !
Quel est le point commun entre Eugène Binaisse, Claude Bartolone (président du conseil général de Seine Saint-Denis), Sébastien Pietrasanta (maire d'Asnières) ou Maurice Vincent (maire de Saint-Etienne) ? Eh bien ils font partie de la dizaine de maires et présidents de collectivités désormais réunis sous la bannière associative de « Acteurs publics contre les emprunts toxiques ».
Tous ont en effet la désagréable particularité de s'être retrouvés piégés par des emprunts toxiques. Leur volonté est donc désormais de s'unir en une « force de frappe collective » visant à obtenir gain de cause auprès des banques ayant saigné à blanc leurs finances et constituant pour les années à venir une implacable épée de Damoclès !

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