Selon nos sources, neuf listes seront présentes lors du premier tour des élections municipales.
Doit-on s'en plaindre ?
L'avenir nous le dira. Pour notre part notre campagne est déjà bien entamée. En fait, elle n'a jamais cessé depuis 2002.
D'aucuns s'étonnent que notre premier tract de campagne ait déjà été distribué.
Ils devraient revoir les textes, ce qui leur permettrait de faire la différence entre " Campagne et Campagne officielle".
oui 9 listes cela sera favorable à l'ar qui sera avec le fn l'une des seul liste à avoir plus de 20 % darchicourt et calzia et ferarie pour les miettes du ps le plus rigolo ump 8 % DIVISER PAR 2 ON SERA LOIN DES FRAIS DE CAMPAGNE
boquet va y laisser des plumes
Rédigé par : eric daussin | 12 juin 2009 à 06:45
ALTER ECHO LE 10 MARS 2009
Lettre ouverte à monsieur FERRARI
Monsieur,
Vous êtes à ce jour un bien singulier homme politique. Elu en mars dernier sur la liste de Gérard Dalongeville, vous avez avec Marie Noëlle Lienemann, en guise d’argument électif, promis aux héninoises et héninois dont je fais parti, de moraliser le deuxième mandat de Gérard Dalongeville par une pratique démocratique de l’exercice du pouvoir et par une influence quotidienne sur la gestion arbitraire du maire. L’opposition républicaine d’alors vous avait largement averti de la situation périlleuse de l’exercice et vous enjoignait, dans l’intérêt des habitants d’Hénin-Beaumont de faire œuvre commune dans un collectif dont la probité ne faisait aucun doute. Vous aviez alors, fait votre choix !
« Couillonné » par plus mystificateur que vous, vous voilà aujourd’hui, plus revanchard que jamais, affublé du statut de blanc détracteur, et vous tambourinez à qui veut bien l’entendre que votre filiation politique n’est pas comparable avec celle de Gérard Dalongeville dont vous décriez enfin les méthodes de gouvernance peu ou pas démocratiques. Je me console de voir enfin, que votre apprentissage de la vie publique est en train de se parfaire au contact de la dure réalité d’être élu au coté de Gérard Dalongeville et plus singulièrement quand on aspire à afficher des idées divergentes. Pourtant, vous saviez tout cela monsieur Ferrari. Nous en avons même débattu ensemble en son temps, mais vous étiez aveuglé par une accointance avec Marie Noëlle Lienemann dont la célébrité, pensiez-vous, vous aurait apporté une respectabilité de circonstance dont vous aviez la nécessité à défaut de compenser le besoin d’estime abyssal qui caractérisait alors votre personne.
Ces derniers temps, des faits de censures sont apparus sur le blog politique du MJS et ceux-ci m’ont interpellé à plus d’un égard.
Avant de vous en livrer quelques substances, je voudrais en préambule vous rappeler quelques réalités qui me semblent essentielles pour que la compréhension du propos puisse se faire jour.
Faire de la politique ce n’est pas de la querelle à tout prix et être opposant c’est assumer ses responsabilités avec esprit dans un espace pas toujours tendre, je vous l’accorde. A l’image du microcosme hénibeaumontois, les esprits démocratiques et républicains y confrontent leurs idées lucides et généreuses en toute liberté. Ainsi au Modem d’Hénin-Beaumont nous exposons nos réflexions et propositions, nous affichons nos ambitions pour les Hénibeaumontois(e)s que nous plaçons au centre du monde et nous rappelons régulièrement que nos engagements sont garantis par nos actes passés et par la constance de nos convictions. Nous labourons la terre fertile des attentes, des espérances, des impatiences, des inquiétudes aussi de ceux qui savent que l’égoïsme n’est pas un idéal, que l’injustice n’est pas une fatalité et que l’avenir ne se construit pas sans luttes. Nous portons donc fièrement notre étendard, nous brandissons sans faiblir nos valeurs, car nous avons des choses à faire et à dire et c’est notre devoir de les faire et de les dire.
Ainsi que je vous le signifiais plus haut, des faits de sanction ont vu le jour sur votre site. En effet j’ai pu constater personnellement que des commentaires affichés sur votre blog ont purement et simplement été effacés faute, il me semble, de ne pas avoir trouvé écho à vos oreilles.
Qu’avez-vous de si laid à cacher monsieur Ferrari ?
Le bloggeur dont le pseudonyme est Cimares aurait-il mis à jour vos intentions au point d’en arriver à escamoter aux yeux du plus grand nombre son point de vue fut-il à votre désavantage ? Ce que vous avez fait s’appelle de la « censure » monsieur Ferrari et j’exècre ce genre de pratique. En agissant ainsi vous affichez exactement le contraire de ce que publiquement vous dénoncez et cela m’est particulièrement intolérable.
Ainsi, vous qui aspirez au pouvoir, vous mettez en avant le rapport que vous avez à la politique et particulièrement à l’exercice du pouvoir.
Vous comprendrez que pour moi, il est impossible de vous tolérer plus avant en vous laissant afficher une respectabilité de façade qui a pour objet de tromper une fois de plus les Hénibeaumontois(e)s.
Les temps sont durs monsieur Ferrari pour nos concitoyens. Alors au Modem Hénibeaumontois nous savons que, si en cette circonstance nous nous taisions, nous manquerions à l’opposition républicaine et démocratique. Nous serions fautifs de l’appauvrir et de l’affaiblir. Nous serions coupables du désenchantement et peut-être même du désespoir de ceux qui croient que la transparence et le débat public, conditionné par l’intérêt général, peuvent faire reculer les démagogues de tout bord.
La censure monsieur Ferrari n’a jamais été une vertu politique, et elle est un forfait misérable dans ces temps difficiles ou Gérard Dalongeville et ses derniers adeptes sans remords ont pris en chasse les partisans de la vérité en politique. Ainsi je vous le dis publiquement Monsieur Ferrari, je n’ai pas l’intention de battre en retraite à ce sujet, au contraire je fourbis mes armes et je me mets en garde. Je vous souhaite néanmoins, et très sincèrement, de vous ressaisir, car ou bien vous renforcerez la cause que vous semblez avoir choisi de servir, ou bien vous tomberez dans le panier de crabes que les Hénibeaumontois(e)s feront disparaître en son temps.
Pour conclure mon propos permettez-moi d’emprunter cette citation de Voltaire qui illustre bien le dilemme dans lequel aujourd’hui vous vous inscrivez.
« C’est le propre des censures violentes d’accréditer les opinions qu’elles attaquent. »
A bon entendeur.
BAHA
http://alterecho.hautetfort.com/archive/2009/03/10/index.html
Rédigé par : SOUVENIR | 12 juin 2009 à 18:29
sans vexer , Raymond enseignait si mes souvenirs sont exacts , peut être sera t il nécessaire de faire des cours de remise à niveau , sans rancoeur et amitiés à tous
Rédigé par : errema | 12 juin 2009 à 19:06
allez vs organiser une reunion publique avant le 28 JUIN
Rédigé par : christophe | 14 juin 2009 à 20:53