On a l’habitude d’appeler la presse « le quatrième pouvoir », les trois autres étant bien entendu, le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Mais la presse ne constitue-t-elle pas plutôt le premier pouvoir, la clé de l’action politique.
Dalongeville empêtré dans ses affaires politico-judiciaires l’a très bien compris et il fait tout pour s’assurer les bonnes grâces des médias. A Hénin Beaumont, ce pouvoir est représenté par deux journaux la Voix du Nord et Nord-Eclair.
L’affaire, dont je vais vous parler, semble banale, anecdotique même, mais révélatrice de la manipulation des esprits dont Dalongeville est un orfèvre en la matière. Il s’agit de la présence de son conseiller spécial en communication au côté des journalistes lors des séances de Conseil Municipal ?!
On y a vu lors du Conseil Municipal du 27 février, ce conseiller spécial en communication quitter et revenir sans cesse à la place peu normale qu’il occupe auprès des journalistes afin de bien démontrer aux élus et au public toute l’importance de son personnage au sein de l’exécutif municipal. Un "m’as-tu-vu" chargé de chuchoter à l’oreille des journalistes la bonne parole et tout heureux de « pianoter » sur son nouveau jouet : un ordinateur portable comme un petit garçon qui a gagné le pompon sur le manège.
Sa mission : Flirter avec la presse, s’employer à noyer le poisson tout en détournant l’attention des journalistes lors des interventions de l’opposition municipale.
Prochaine réunion des Présidents de groupe :
à l’ordre du jour :
intox, censure et désinformation
Prochain article du blog : LE SOUTIEN DE DALONGEVILLE A SARKOZY
Ce conseiller spécial de Dalongeville n'est-il pas le Président du Stade Héninois ?
Club de foot qui serait dans le collimateur de la brigade finanière !
Rédigé par : mauvaise langue | 02 mars 2009 à 21:45
Intéressant ce jeu de séduction avec la presse. D'autant plus à la mode que le fond ayant disparu ou plus exactement n'étant pas bien reluisant, on va ne favoriser que la forme...et là les techniques foisonnent... De Sarkozy à Royal tout le monde constate que le (la) séducteur (trice) ne peut maîtriser en permanence les médias et que ceux-ci font payer chèrement la complicité (duplicité) que le politicien s'emploie à développer... "je t'aime, moi non plus". et à ce petit jeu le politicien(ne) ne sort pas vainqueur.
Le politique accordera une importance moindre à la forme parce qu'il insistera sur le fond . Il estime que le citoyen mérite qu'on lui propose un projet exempt de duperie. Le politique respecte la république et les citoyens, le politicien beaucoup moins.
Rédigé par : cimares | 03 mars 2009 à 00:05
j'aime bien la photo du jour qui ressemble en tout point de vu au MoDem !lol
Rédigé par : Casimir | 03 mars 2009 à 09:44