La tradition veut qu'en ce premier jour du mois où il ne faut pas se découvrir d'un fil, l'on soit autorisé à faire des farces, à dire un peu n'importe quoi.......Tout est permis à condition de ne pas faire durer trop longtemps la plaisanterie.
Ce qui va suivre n'a rien à voir avec cette tradition mais relève de la bien triste réalité Héninoise.
Hier, nous avons été contactés par plusieurs employés municipaux très en colère.
Motif de ce courroux: Habituellement,ils perçoivent leur salaire vers le 25 et hier, ne voyant rien venir certains d'entre eux se sont rapprochés de certaines autorités.
Réponse de ces autorités: "Ne vous inquiétez pas cela ne va plus trop traîner...vraisemblablement, vous serez payés le 4 Avril."
Traduction: Il n'y a plus un sou dans les caisses. Et l'on se demande bien à ce stade de l'année quelle sera la recette miracle qui tombera dans l'escarcelle municipale: Nouvelle dilapidation du patrimoine? Nouvel emprunt ?......Nous en reparlerons.
Comme dirait notre ami Maurice ( nouveau visiteur de ce blog ) : "attendez donc un peu pour juger"!
Le problème, mon cher Maurice, est qu'aprés avoir connu ce genre de plaisanterie pendant sept ans la confiance s'est totalemment dissipée.
Réponse de ces autorités: "Ne vous inquiétez pas cela ne va plus trop traîner...vraisemblablement, vous serez payés le 4 Avril."
Lorsqu'on a des prélèvements en fin de mois la banque ne va certainement leurs dire de ne pas s'inquieter,non seulement les prélèvements vont se faire mais avec d'énormes frais si leur compte n'est pas renfloué,évènement que le maire ne peut comprendre vu la sacré différence de salaire entre lui et les employés.
Enfin ils l'ont voulu,ils l'ont eu et ce n'est qu'un début puisque 200 d'entre eux pour le moment vont se retrouver au chômage trés vite ; le reste suivra !!!
Rédigé par : Visionnaire | 01 avril 2008 à 13:44
QUI DORT DINE !
La critique est aisée, j’en conviens mais le silence est lâcheté.
Issue de la société dite civile, c’est du fond de mon jardin qu’il m’amuse, d’un rire certes jaune, d’observer la pitrerie ambiante.
Si en politique la vérité du jour ne peut être celle du lendemain, dans le petit monde de la gauche héninoise, plus que partout ailleurs, les embrassades de mars laisseront très vite place aux crachats. Les plus malins s’épargneront la place publique et s’en iront rejoindre, à défaut d’autres destinées, une nouvelle destination. Les plus stupides n’en finiront pas d’essorer leur mouchoir trempé par tant de larmes à verser et de glaires profondément exhumées.
Resteraient alors les incapables, les incapables de la moindre autocritique, les épargnés de (et non par) la poli-éthique, les seconds couteaux à la lame trop arrondie pour espérer pointer les trop nombreux coups de canif portés au contrat initial. Les biens connus « un chien vaut mieux que deux petits rats». Au royaume des aveugles et des borgnes, notre piètre seigneur fut couronné. Au royaume des carpes, en toute liberté il péchera.
L’emploi de ce dernier conditionnel n’engendre aucune confiance en la faculté de nos « bleu blanc rouge » bariolés à retrouver un brin de lucidité. Une lucidité que leur impose pourtant et depuis longtemps la situation des héninois(e)s.
Non, ce conditionnel souligne plus simplement l’espoir placé en un troisième puis un quatrième tour des municipales 2008. Je formule ici le vœu d’une consécration, celle d’une démarche et d’un projet réalistes portés par l’Alliance Républicaine. Une approche pertinente à en croire et à en voir cet échiquier bouleversé à la simple idée de pouvoir le devenir. Que ces dames et ces rois se rassurent. L’Alliance Républicaine poursuit sa relation héninoise. N’en déplaise aux fous se disant épris d’une grande liberté, mais qui sitôt la récréation sifflée, s’en retournent sur les cases initialement concédées.
Un engagement qui ne peut s’apparenter à la marotte de quelques «cérébraux» en mal d’occupation, présentés par les mêmes chargés de propagande comme membres éminents de l’annexe du rectorat ou néopoujadistes.
Je n’ai pour ma part nulle prétention d’être un intellectuel. Pour autant, je ne me refuserai aucune comparaison, convaincue du peu de fidélité de nos gogo-dancer aux valeurs qu’ils s’efforcent d’afficher. Après une période rock, ces derniers se sont convertis avec engouement aux chants des sirènes. Cher Benjamin et autre prince consort, viendra le temps ou d’autres que moi, initiateurs de vos étreintes passées, se présenteront à vous, vous enjoignant de rétablir la chronologie des événements. Voyez-vous très chers, il est un dicton populaire que les machiavéliques aiment à manier. Un de ces dictons faisant, autant vous le dire, des titres sans noblesse : QUI DORT DINE !
Alors voyez-vous, très cher Maurice, Pour ma part et ma seule part, vous pouchez le bousson bien trop loin. Puisse ce dernier ne pas vous lier par un élastique. Car même usé, il vous reviendrait à coup sûr en pleine figure. Un mal oh combien nécessaire toutefois !
Rédigé par : What else ? | 01 avril 2008 à 14:58
Doit on vraiment agir sur se sujet?la plupart des employé municipaux n ont ils pas voté pour le maire sortant?,n a t il pas ete elu soit disant (democratiquement)?alors pourquoi faire appel a l alliance républicaine quant le mal est fait?ou bien cela est il un poisson d avril?.
Rédigé par : white-tiger | 01 avril 2008 à 15:00
Your comment is awaiting moderation.
Du rifif au PS, et une censure qui reprend sur le blog du MJS. Un commentaire posté par mes soins suite à l’article « Ensemble pour l’avenir des retraites » et sous forme d’avertissement, un « Your comment is awaiting moderation ». Décidément, cher Leibnitz, tout va bien dans le meilleur des mondes possibles …
A messieurs les Adjoints à l’emploi et à la formation, et à la culture.
Votre connivence digne des plus beaux duos de Stone et Charden, ou bien encore de Peter et Sloane fait plaisir à voir.
Je ne sais si vous excellez dans l’art lyrique, mais quand viendra la fin de l’été, sur la plage, il vous faudra alors vous quitter.
Soyons clair messieurs, je n’admire pas votre combat parce qu’il n’en est pas un !
Il n’en est pas un parce que bien que tous deux élus locaux, vous vous évertuez à vous présenter comme des effarouchés, des indignés que vous n’êtes plus (l’avez vous réellement déjà été ?).
Je m’interroge non pas sur les motivations de votre posture mais sur sa principale finalité :
- Relayer le discours bien pensant de vos instances nationales respectives - ce que pourtant vous reprochez à F. Fillon … - pour vous dédouaner de vos prérogatives et responsabilités locales ?
- - Faire croire aux héninois de votre grande influence auprès des hautes sphères du pouvoir politique et économique, faute d’être en capacité de l’imaginer au sein de l’hôtel de ville ?
On ne peut diriger localement en se contentant d’imputer systématiquement les affres de notre quotidienneté à autrui. Une telle démarche enferme dans l’assistanat empêchant ainsi toute forme d’assistance. Votre maître à jouer à déjà bien oeuvré. Vos actions de communication (et non d’information) ne méritent pas l’attention que j’aime en revanche porter aux discours de bistrot. Non pas parce que ces derniers regorgeraient de vérité, mais parce qu’ils se tintent d’une très belle sincérité.
Votre mandat, j’en conviens ne vous offre que peu de leviers (notamment dans le domaine de l’emploi et de la formation qui ne relève pas directement d’une compétence communale). Il vous revient d’autant plus de les activer !
Et si manifestement, comme je le pense, les conditions de l’exercice vous apparaissent bien éloignées de ce qu’il vous reste de vos convictions passées, ayez le courage des indignés : Démissionez !
What else ?
Rédigé par : What else ? | 02 avril 2008 à 13:23