L’entrée dans la danse est enfin effective.
Marie Noëlle LIENEMAN a effectué son pas de deux sur le thème « Sans moi pas de salut ! »
Sponsorisée par le parti socialiste, elle clame son choix, ce sera un petit rat (d’opérette bien sûr). Un petit, tout petit rat préférant le béton à la campagne, affiché et soldé à 49% alors qu’il n’en valait pas 25 un mois plus tôt ! Justement celui que lui avait commandé seigneur JANQUIN – le maître du P S en Artois. Nous sommes au pays des contes de fée.
1er miracle.
Son emplette sauve la créature soldée d’une disparition annoncée !
La langue de bois a fait son œuvre, la première ballerine des socialistes a, nous dit-on, rassemblé TOUTE la gauche : une petite dizaine de communistes, 2 ou 3 MRC, 1 radical de gauche, quelques PS encartés à 20 euros- internet , un quarteron d’ affairistes, transfuges des listes Darchicourt en quête de strapontins et d’indemnité et 1 ou 2 MJS hurlant de douleur d’avoir été détournés de leurs bons principes.
2ème miracle.
On désigne par TOUTE LA GAUCHE, ce qui ne représente qu’une poignée. Prisme déformant !
La vraie gauche militante, désintéressée de tout profit personnel est ailleurs auprès de son chef légitime, traité sans ménagement de par la seule volonté des caciques du parti.
3ème miracle.
Les vessies se sont transformées en lanternes.
Les Héninois ont vu clair, ils n’accepteront pas d’être pris pour des cons et n’entreront pas dans la farandole médiatique qui veut leur imposer un sondage bidouillé, instrumentalisé leur imposant un maître de ballet confondant chat et entre chat. Sa certification n’est pas connue. Il n’appartient à aucune catégorie payant cotisation. A-t-il besoin qu’on l’aide pour trouver un toit ?
4ème miracle.
Tout le monde en rit et trouve un peu grosse la ficelle tendue… A force de tirer dessus elle se casse !
L’effet d’une telle manœuvre se retournera contre ceux qui l’ont imaginée CAR LES HENINOIS NE SONT PAS DES GUIGNOLS, ils ont besoin d’être respectés. Ils n’admettent PAS ETRE INFANTILISES.
Marie Noëlle LIENEMANN les a leurrés. D’entrée, elle aurait dû annoncer que le choix de Dalongeville lui était imposé dans sa feuille de route. Elle aurait dû s’engager dès le premier jour auprès de son nouvel ami .Au fil de ses rencontres, elle a déclaré vouloir l’encadrer, elle a promis qu’un comité des sages le surveillerait après son éventuelle élection. Paroles, paroles.. .
Quel manque de respect pour l’homme sous haute surveillance mais aussi pour l’ensemble des Héninois qui sauront se souvenir au moment du vote, le 16 mars prochain.
Des informations désinformation
Membre de l’Alliance Républicaine, c’est toutefois en tant que simple Héninois qu’il me plait aujourd’hui d’exprimer l’agacement qui est le mien.
A l’heure où la presse gratuite porte à discussion, où le traitement people-politique de l’actualité semble l’emporter sur une analyse politique des faits, je ne peux que regretter le suivi médiatique réservé aux prochaines municipales à Hénin Beaumont.
« Il était une fois, dans une terre promise au chaos, l’espoir d’un devenir meilleur. La lutte entre le mal et le bien posée comme un décor de carton en papier. Suspendus au dessus de la place centrale du village, les gueux de cette contrée perdue, avides de sang, prêts à jeter aux hyènes, le cadavre perforé par les balles de son adversaire du jour. La bave coule, les yeux se révulsent, la foule se languit de trop attendre. Le photographe, tentant de les contenir, leur adresse chaque cliché retraçant les moindres détails de cette scène pourtant inanimée.
A quelques encablures, nos deux adversaires sirotent tranquillement leur bière (Bah on est dans le Pas-De-Calais tout de même !), chacun dénombrant leurs semblables tout en gardant un oeil acéré sur leur poulain à l’écart délaissé.
Soudain, le bruit d’un entrebaillement de porte se fit entendre, des talons aiguilles apparurent laissant vite la place à la forme de corps, déterminés à en découdre. Notre photographe trépignant de joie tel un goinfre devant son 1er pot de confiture, laisse son doigt sur la gachette. Devant tant de crépitements, la foule est éblouie. L’image persistante du flah interdit toute connaissance sérieuse de la pièce jouée. Fort de cet état de fait, nos protagonistes s’en repartent au saloon non sans avoir abandonné malencontreusement par terre un doux billet collé par la poussière argentique du trépied. »
COUPE, superbe, on rejoue la même demain !
Bien évidemment toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
Voyez vous, j’en ai soupé des histoires dont même les enfants n’ont que faire. Et puisque la période m’y autorise encore, je formule ce vœu. Que la presse arrête de nous raconter des fictions (elles ne ont même pas belles en plus). Ou bien qu’elle les assume !
Et s’il me faut montrer mon séant pour créer sensation, qu’elle le dise tant il est vrai qu’entre néant et séant, un rien les sépare !
J’ai pour ma part, soucieux de vous éviter ce spectacle peu ragoûtant et de m’épargner un vilain rhume d’autres propositions :
Que les résultats du questionnaire de l’AR puisse faire l’objet d’une information et d’une analyse journalistique !
Que l’action développée par Daniel Duquenne et les 307 adhérents de l’AR puisse être relatée dans la presse. J’ai dit relaté et non sanctifié !
Est-ce trop demandé ? Je ne le crois pas. Et pourtant, il y aurait tant à dire et à écrire sur :
- l’attitude d’une instance fédérale faisant fi de l’intérêt des Héninois(e)s.
- la grande responsabilité de Marie Noëlle Lienemann sur la situation locale tant la caution apportée à cette mascarade est pitoyable.
- La duperie politique de 2 soit disant jeunes en devenir, dont la veste retournée si aisément bien que leur évitant un nettoyage et un cas de conscience, ne pourra oter les traces disgracieuses
- Quant aux copains d’abord qui navigaient en mer peinard, dans la grand mare des canards, je crains que peu de randonneurs ne goûtent à votre sens de l’orientation : la mare des canards, ce n'est pas celle des cochons.
Rédigé par : Luanpa | 21 janvier 2008 à 14:08
Quand les comptes de la ville seront clean ???
Il est temps que Dalongeville quitte la scène !! Nous en avons mare de payer pour ses erreurs redondantes !!
Il faut qu'il cesse de considérer la ville comme son propre patrimoine, de mettre un Ho la lorsque des entreprises veulent s'installer sur un terrain à l'abandon, en friche. Assez d'entreprises ont quitté Hénin, car le maire les a empêché de se développer, ex : BENALU, Tps Leroy, ... sans compter les liquidations ...
Nous voulons vivre dans une ville où il y fait bon vivre ....
Alors Dalongeville partez avant que la liste des dettes ne se rallonge !!!
Rédigé par : QHENIN | 10 février 2009 à 18:00